Le projet de loi insiste sur la reconnaissance des aidants et je m'en réjouis car les groupes de parole offrent un moment de répit intellectuel, physique et affectif aux personnes qui accompagnent un proche âgé ou atteint d'une maladie invalidante.
Lorsque j'ai mis en place l'APA, l'appui familial était une notion reconnue mais le terme d'aidant n'existait pas. Il est reconnu depuis une dizaine d'année, pour autant aucun travail n'a été engagé pour connaître la part qu'occupent les femmes parmi les aidants.
Quoi qu'il en soit, l'aide à domicile ne pourra être mise en valeur que si les personnels perçoivent une rémunération correcte.