Que l'on nous comprenne bien : il ne s'agit pas de refuser, par un réflexe défensif, tout changement pour ce qui concerne une de nos bases traditionnelles.
Mais il s'agit simplement d'une équation insoluble : faire la même chose avec deux fois moins d'hommes. Car le problème, à Djibouti, c'est que contrairement à Libreville, on réduit drastiquement les effectifs sans toucher au contrat opérationnel, ou du moins aux missions.