Avant de redonner la parole aux corapporteurs, je salue l'intérêt qu'a suscité cette présentation. Je me souviens des débats que nous avions eus à l'occasion du vote de la loi sur les restitutions de têtes Maories en Nouvelle-Zélande. Deux de nos collègues avaient d'ailleurs participé à un cérémonial d'échange. La détermination du bon point d'équilibre entre la restitution de ces oeuvres présentes dans les musées européens ou américains et la nécessité d'échanger, de partager la connaissance de ces cultures est délicate à trouver.