Le motif essentiel de la disposition adoptée en première lecture est, comme l'a dit M. Lamour, de combler le trou de 400 millions d'euros du budget parisien – trou dont l'origine reste inexpliquée, d'ailleurs. Paris est une capitale internationale et frapper le secteur du tourisme au travers de cette hausse de la taxe de séjour portera un mauvais coup à ce statut. Les amendements de Mme Rabin sont certes intéressants, mais ils substituent à un dispositif simple une usine à gaz, difficile à mettre en place et qui nécessitera des contrôles ; ce n'est pas le moment de s'engager dans cette voie. Voilà pourquoi je demande à M. Mariton de maintenir son amendement.