Il est surprenant que le contrôle parlementaire ait tant tardé à être mis en oeuvre dans le secteur de la Défense. On voit, dans les collectivités territoriales, tout l'intérêt qu'a un contrôle étroit de l'action publique : il permet des économies, et on peut certainement en attendre aussi dans le domaine de la Défense.
Vous avez évoqué le surcoût OPEX : avez-vous des chiffres plus précis sur le coût de nos deux opérations au Mali et en Centrafrique ? Est-ce que celui-ci est conforme aux prévisions qui avaient été faites ?