Il s'agit simplement de trouver une solution pour pallier le décalage de deux ans dans l'encaissement des 2,5 milliards de recettes exceptionnelles au titre des cessions de fréquences. Il faut veiller à ce que le report de charges ne progresse pas davantage. Nous attendons les décisions de l'exécutif, mais il est indispensable que la LPM soit confortée dans son équilibre général, dont chacun sait qu'il est fragile.