Non, nous sommes dans l'accompagnement social des personnes. Dans ces cafés, les personnes échangent pendant une heure et demie, créent des solidarités de manière tout à fait libre. On a le droit de ne pas parler, de venir de temps en temps, de ne plus y revenir. Ce mode d'échange ne va pas à tout le monde et certaines personnes n'aiment pas exposer leur situation.