Monsieur le secrétaire d’État, je me permets de reprendre la parole, car, ayant voulu être discret sur ce sujet, je n’ai pas indiqué que l’INA avait économisé au cours des dix dernières années pour mener à bien un projet immobilier absolument indispensable à son développement, qui n’est aujourd’hui plus financé et ne pourra se réaliser.
En revanche, les 200 000 euros dont nous parlons iraient compléter les 2 milliards d’euros de France Télévisions. Nous estimons, pour notre part, que France Télévisions n’a absolument pas affiché les mêmes engagements ni les mêmes résultats par rapport à son contrat d’objectifs et de moyens que la chaîne Arte ou l’Institut national de l’audiovisuel.