J’ai écouté avec beaucoup d’attention les propos d’Hervé Gaymard. Il a fait référence à Dickens et à Balzac dans une chronologie un peu inversée mais c’était volontaire. Il a cité Les grandes espérances de Dickens. On pourrait aussi citer Les temps difficiles, c’est-à-dire ceux que vous nous avez laissés.