Ayant à l'esprit la récente étude sur le sentiment de solitude ressenti par les personnes âgées, j'aimerais savoir si le champ des services à la personne inclut, dans des pays étrangers, des services qui ne figurent pas dans la liste française. Quelles conclusions la Cour tire-t-elle de la forte variation de l'avantage fiscal en fonction du décile de revenu de ceux qui en bénéficient ? Enfin, ai-je bien compris qu'une économie potentielle de 1,3 milliard d'euros est jugée possible sans reconfiguration globale des aides ?