Selon cette vision, la question de la réunification aurait dû faire l’objet, dans les deux régions, d’un vote à la majorité qualifiée par consultation référendaire.
On a vu ce que ça donnait avec l’Alsace : 80 % des élus voulaient faire cette réforme, et il existait une majorité au niveau de la région, mais on a imposé qu’elle réunît, en plus de la majorité régionale, les majorités départementales. Le résultat, c’est que l’échec alsacien a fortement pesé, car c’eût été, sans doute, un modèle, qui aurait pu être repris par la Bretagne…