L'amendement introduirait plus qu'une rupture : il rapprocherait notre droit du travail du modèle birman ! Non content de faire du travail de nuit la règle et non plus l'exception, il supprimerait toute référence aux durées maximales de travail quotidien et hebdomadaire. De telles dispositions, à ma connaissance, n'existent dans aucun pays développé. J'imagine donc que leur auteur, emporté par sa fougue, n'a pas mesuré leurs conséquences…