Vous organisez chaque année une conférence des dirigeants français d'entreprises étrangères. L'initiative est intéressante. D'autres pays procèdent-ils de même et s'intéressent-ils à leurs ressortissants dirigeant des entreprises en France ? Par ailleurs, que faisons-nous pour garder chez nous les dirigeants étrangers ?
De nombreux projets d'investissement étranger sont des extensions de sites existants, avez-vous dit. N'y a-t-il pas là matière à évaluation comparative ?
Quelle est la part des quelque 700 décisions d'investissement étranger en France relevant de la création, et non de la sauvegarde ou du rachat de sites ? Qu'advient-il de ces projets trois ou cinq ans plus tard ? Des entreprises étrangères peuvent en effet souhaiter racheter des entreprises françaises dont les marges s'amenuisent sans toutefois vouloir nécessairement pérenniser les sites en question.