Effectivement. La loi est faite pour répondre à toutes les situations. Je n'ai pour ma part aucune commisération pour ceux qui ne pourraient plus mener d'opérations mercenaires aux Comores ou ailleurs, mais j'ai une pensée émue pour ceux qui, en 1936, ont rejoint les Brigades internationales pour combattre le fascisme en Espagne !