L'article 13 permet de créer des « cyber-patrouilles » chargées d'enquêter sur les délits de provocation à des actes de terrorisme et d'apologie de ces actes, créés à l'article 4. Dans le cadre de ces « cyberinfiltrations » les enquêteurs seront amenés à échanger et conserver des contenus illicites, pour lesquels ils ne doivent pas être pénalement mis en cause.