Monsieur Breton, vous avez un parcours atypique, qui s'est développé aussi bien dans le public que dans le privé, avec des missions très variées.
J'ai quatre questions à vous poser.
En citant les quatre missions essentielles de l'INCa – recherche, innovation, information et prévention –, vous avez parlé de cloisonnements, précisant que le directeur général devait les « supporter ». Ce terme m'interpelle. Qu'entendez-vous par là ?
Envisagez-vous de travailler avec des réseaux existants, notamment avec le milieu associatif ? Je pense à la Ligue contre le cancer, entre autres associations. Dans l'affirmative, selon quelles modalités ?
Comptez-vous engager une démarche au niveau européen, pour tisser des liens ou mettre en place des réseaux ?
Enfin, l'expertise doit répondre aux besoins « dans des conditions d'exigence et de rigueur exemplaires », avez-vous dit. Avez-vous des pistes pour la conforter en ce sens ?