Lorsque l'on parle du réchauffement climatique, on pense d'abord aux territoires, à leurs habitants, à leur faune et à leur végétation, ou à la température de l'air, mais on n'oublie souvent les océans qui s'acidifient. L'alimentation humaine est pourtant autant liée au milieu marin qu'au milieu terrestre. Qu'en est-il de la biodiversité des océans ? Ne faut-il pas poser la question de l'eau de façon globale ? Monsieur Sermier, je vous rappelle que l'influence du réchauffement des eaux douces à proximité des centrales nucléaires n'est pas sans effet sur la biodiversité des fleuves – il n'y a qu'à voir le cas de la Loire.
Nous avons besoin des modèles que vous nous proposez pour faire des choix. Si nous ne devions mettre en place qu'une seule mesure contraignante, laquelle faudrait-il retenir ?