Madame Schmid, malgré la signature de contrats locaux, il arrive fréquemment que les entreprises fassent appel à nos services même si les packages proposés sont réduits. Cela dit, il est incontestable qu'une partie du marché nous échappe.
Monsieur Tetart, nous ne disposons pas de statistiques sur le taux d'échec de la mobilité. Il faut espérer qu'il est plus bas pour les salariés que nous assistons que pour ceux qui ne bénéficient pas de nos services. L'échec peut avoir deux causes principales liées soit aux difficultés d'adaptation du conjoint, soit aux problèmes du retour qui, parce qu'il risque de se traduire par une baisse générale du niveau de vie et une perte d'autonomie professionnelle, incite de nombreux expatriés à rester sur place.