Vous dites qu'on est incapable de les mesurer – ce que nous avons admis avec humilité et transparence, notamment aujourd'hui – et qu'on ne s'en donne pas les moyens. C'est sur ce dernier point que je veux réagir. Depuis le temps que ces questions sont posées par tout le monde, s'il y avait une manière simple d'y répondre avec sérieux, nous nous en serions tous emparés.