Monsieur Sturni, les fiscalistes auditionnés la semaine dernière se sont basés sur des impressions ou sur le constat d'un certain nombre d'expatriations fiscales – plus que sur des analyses chiffrées.
En tant que responsables de sites Internet dédiés aux Français de l'étranger, comment jugez-vous la communication sur les réseaux sociaux des institutions françaises chargées d'informer nos compatriotes expatriés ? Comment pourrait-elle être améliorée ?