Monsieur Ferrier, vous avez signé le pavillon français de l'exposition universelle de Shanghai, et vous travaillez actuellement sur les gares du Grand Paris. Quel regard portez-vous sur les modèles successifs d'expositions universelles : celui du XIXe siècle, fonctionnant autour d'une grande galerie centrale ; celui du XXe siècle, avec des pavillons ; et celui, polycentrique, que nous sommes en train de concevoir ? Quels sont les avantages et les limites de chacun ?