J'imagine que, depuis deux ans, diverses autres cotisations, comme les cotisations retraite, ont augmenté – c'est-à-dire qu'à salaire constant, le coût du travail a progressé. Ces progressions ont été répercutées dans l'indice du coût du travail, entraînant une revalorisation des prix facturés aux clients – ou la nécessité pour les prestataires d'absorber cette hausse. Ce que le Gouvernement présente, sur le plan formel, comme un crédit d'impôt est pris en compte par l'INSEE comme une baisse du coût du travail. Le mécanisme opère dans les deux sens.