Si nous avions disposé de 4 milliards d'euros, nous aurions pu racheter toutes les licences, mais ce n'est pas le cas, d'où l'obligation de maintenir celles qui existent. Dès lors, imaginez la réaction du chauffeur de taxi qui a payé sa licence 230 000 euros – et même 400 000 euros à Nice, preuve du dérapage du système – et qui verrait les VTC autorisés à stationner dans une station de taxi après avoir payé seulement 100 euros ! Or, lorsque vous demandez la suppression du critère de la maraude, madame Sophie Rohfritsch, car c'est à quoi reviennent ces amendements, vous demandez tout simplement la fusion des taxis et des VTC dans un même corps, en oubliant que les uns ont payé un droit de voirie et les autres non.