Nous devons, comme l'a dit Sophie Rohfritsch, penser aux consommateurs, mais cela ne doit pas nous conduire à ignorer l'existence de ces deux catégories de professionnels. La proposition de loi présente l'intérêt de fixer un cadre réglementaire qui leur permettra de coexister et aux consommateurs d'être protégés. Elle apparaît donc équilibrée, en effet, même si, dans l'idéal, il eût été préférable que l'État rachète les licences des taxis – mais la situation de nos finances publiques interdisait d'engager cette dépense de 4 milliards d'euros.