J'ai parfois l'impression que notre Assemblée invente des métiers impossibles, comme celui de douanier du nuage de Tchernobyl. (Sourires.) Les technologies évoluent et on ne peut interdire ces progrès ! Le voudrait-on d'ailleurs qu'on n'y parviendrait pas. Lorsque l'on a voulu supprimer le trading électronique, les ordinateurs et 3 000 emplois ont quitté Paris pour Londres et Bruxelles, où cette activité se poursuit.