Au niveau européen, nous travaillons avec les industriels allemands, dont les points de vue ne sont pas éloignés des nôtres. Nous réfléchissons au moyen d'intégrer éventuellement aux mécanismes de capacité nationaux les capacités présentes à la frontière.
Quant au gaz de schiste, j'estime qu'il peut offrir le moyen d'importer moins de pétrole. Quels que soient les choix finalement retenus, l'innovation doit être protégée et nous sommes favorables à la recherche.