Mes chers collègues, laissez-moi m’exprimer : j’ai très peu de temps, ne me le prenez pas !
Je ne veux pas, comme notre collègue Mazeaud, pour lequel j’ai infiniment de sympathie, m’asseoir sur les libertés. Mais je ne veux pas non plus, monsieur le ministre, m’asseoir sur une bombe !