Trois questions.
S'agissant du Mali, vous avez évoqué une reprise des négociations de paix à Alger le 1er septembre : quels en seront les participants ? Le Burkina Faso, qui a mené des négociations décisives, la France et l'ONU y seront-ils associés ?
A-t-on une idée de la provenance de la réserve d'argent de l'État islamique ? Pendant des années, on a soupçonné le Qatar et l'Arabie Saoudite de financer des groupes terroristes. Qu'en est-il exactement ?
Aussi bien le Gouvernement iranien que le pouvoir syrien ont intérêt à lutter contre l'État islamique. Après dix ans de fourvoiements diplomatiques, ne serait-il pas temps de reprendre des discussions, soit directement, soit par un intermédiaire, avec les dirigeants iraniens et syriens ?