Hier, c’est vous qui avez méprisé le Parlement. Votre discours de politique générale a sonné creux : des belles phrases, quelques envolées, des y’a qu’à-faut qu’on, mais aucune mesure concrète en faveur de l’emploi, de l’économie, des Français. Des incantations, comme si vous attendiez, monsieur le Premier ministre, un miracle.
Vous nous dites que vous allez développer l’apprentissage. Quel culot !