comme si le redressement de notre pays dépendait de ces professionnels…
Je constate que le ton a changé. Le ministre de l’économie que vous êtes ne tient manifestement pas le même discours que le secrétaire général adjoint de l’Élysée que vous étiez, lorsque vous avez dû rendre des arbitrages sur ce texte : c’est une bonne chose, et l’on s’en félicite. Mais croyez-vous vraiment que, comme l’a dit notre collègue, le fait de casser tout ce qui fonctionne dans notre pays permettra que les choses aillent mieux ?