Monsieur le président, mesdames, messieurs les députés, monsieur le député, je voudrais d’abord lever une ambiguïté. Vous semblez dire qu’un texte avait fait l’objet d’un arbitrage et que, dans mes précédentes fonctions, j’avais pu y participer. Or, en vertu du fonctionnement gouvernemental, un secrétaire général adjoint de l’Élysée ne rend pas d’arbitrages sur les textes.