L’argument de M. le député Lellouche est de dire : « Vous devrez apporter la démonstration que ceux qui sont partis sur le théâtre des opérations extérieur ont commis des actes terroristes pour pouvoir aboutir à la judiciarisation ». J’en profite d’ailleurs pour dire au député Marsaud que le début de la condamnation, c’est la judiciarisation, parce que la condamnation sans la judiciarisation, c’est le contraire de la démocratie.