Plus ou moins. Elles s'intéressaient à la sexualité, à la vie affective et sexuelle, ce qui permettait de regrouper l'ensemble des acteurs à l'échelle d'un département – Éducation nationale, structures associatives, conseil général, services de l'État – et de faire le point sur les actions conduites, à la fois en direction des établissements scolaires, des jeunes et de tous les publics. Au sein de ces commissions, nous avions une certaine visibilité des actions menées.
Maintenant, l'ARS est aussi en charge de ces questions. Sans doute devons-nous travailler de façon plus précise avec elle pour faire en sorte que celles-ci soient bien identifiées dans les plans régionaux de santé. Mais nous devons également travailler avec l'Éducation nationale.