Laissez-moi répondre ! Je n’ai pas émis trois borborygmes ressemblant à des onomatopées que déjà vous vous opposez à mes propos ! Laissez-moi aller au bout de mon raisonnement. Je vais vous dire ce que je pense, et ensuite, si vous êtes en désaccord, vous pourrez vous exprimer, puisque dans cet hémicycle, bien entendu, l’expression est libre.
Monsieur Delarue, qui était le prédécesseur de madame Hazan au poste qu’elle occupe actuellement, et qui a été, si j’ai bonne souvenance, nommé par le gouvernement de l’époque, a exprimé une position identique.