Vous n'avez pas vraiment répondu à la question de Mme la présidente sur la transparence, même si M. Karpelès a eu raison de souligner que cette dernière apparaît plus compliquée pour les négociateurs européens que pour leurs homologues américains qui n'ont pas de comptes à rendre.
Vous devriez également préciser davantage vos préférences en matière de méthodes d'arbitrage.
Monsieur Boyle, quelle est la position des syndicats européens sur le TTIP ?
M. de Brauer a indiqué que treize États fédérés s'opposaient à l'arrivée des produits européens sur leur territoire, alors que M. Lemierre a dit qu'il fallait être sûrs que cet accord s'appliquerait à tous les États ; ces deux affirmations ne sont-elles pas contradictoires ?