C'est pourquoi cette question nous semble fondamentale, notamment pour les PME qui ne sauraient assumer le risque de ce genre d'aventures et doivent être assurées d'un du cadre institutionnel.
Madame Dagoma, la question de l'interaction des parties prenantes avec les négociateurs est complexe : certes, nous sommes écoutés – tant du commissaire que de la partie américaine, très ouverte – mais pas forcément entendus. En effet, nous avons peu de retours ; si cela semble normal pour la partie américaine – après tout, nous ne sommes pas des négociateurs –, cela l'est moins pour nos interlocuteurs européens. Il nous serait utile de comprendre le contexte et l'équilibre général pour nous y situer le plus objectivement possible ; or pour l'instant, nous ne disposons pas d'informations qui nous permettraient de le faire.