Si l'on fait le calcul de ce que ces droits coûtent à l'administration, le gain pour les États est négligeable. Sur ces échanges, les droits de douane doivent tendre vers zéro, à l'exception – déjà mentionnée – des produits exposés à la concurrence du gaz de schiste pour lesquels il faut disposer de temps afin de trouver une solution européenne.