Le nombre de nuitées a augmenté depuis 2007, et elles sont concentrées aux trois quarts en Île-de-France.
Je ne dispose pas de chiffres précis sur la part des demandeurs d'asile, ou des déboutés du droit d'asile, parmi les personnes hébergées. Des enquêtes très ponctuelles estiment la part des demandeurs d'asile entre 6 % et 10 %, et celle des déboutés, selon les régions, entre 20 % et 50 %. Vous le voyez : c'est vague, et pas nécessairement fiable.