Nous ne réglerons pas le problème sans modifier la loi, car deux problèmes se posent : le retard des préfectures nourrit l'hôtellerie ; en attendant leur régularisation, les demandeurs d'asile n'ont le droit ni de travailler ni de solliciter les organismes HLM, ce qui coûte deux fois plus cher à la société et nuit à leur socialisation. Il faudra bien poser un jour le problème de fond.