Je vous répète que, pour intéressant qu'il soit, le débat que vous ouvrez est celui des conditions de la privatisation : nous n'avions pas de légitimité pour intervenir dans ce débat. Ce qui nous a importé, c'est de déterminer si la régulation des péages est telle qu'elle procure aux sociétés d'autoroutes – indépendamment des conditions dans lesquelles s'est faite la privatisation en 2006 – une rente injustifiée.