En effet, le produit des péages tombe au moment de l'utilisation, alors que les travaux sont payés à la période qui est décidée. Il s'agit donc en plus d'une véritable machine à cash ! Je suis donc frappé que l'on ait pu, à l'époque, conclure des contrats avec un regard incomplet – pour rester aussi poli que le président de l'Autorité de la concurrence – et je suis très inquiet que l'on puisse imaginer, dans des conditions identiques ou même différentes, de prolonger les concessions. On a commis une erreur et il serait prudent d'y mettre fin à l'échéance prévue plutôt que de la prolonger.