Non, mais nous sommes associés aux travaux menés par le distributeur puisque ces bornes vont être raccordées au réseau de distribution.
Nous avons étudié quatre scénarios en termes d'équilibres « physiques », à savoir indépendamment de considérations financières car nous n'avons pas les moyens d'en évaluer le coût. Ces scénarios respectent tous l'objectif de plafonnement de la part d'énergie nucléaire, ce qui n'est pas le cas d'autres critères – et le projet de loi en prévoit beaucoup : sur les énergies renouvelables, les émissions de CO2… ; il faudra donc savoir, au-delà du fait que certains sont peut-être contradictoires entre eux, lesquels privilégier.
Par rapport au parc actuel, nous émettons l'hypothèse d'arrêts, qu'ils soient liés à l'obsolescence ou à des décisions politiques. Reste qu'aucun scénario ne prévoit une puissance installée supérieure à la puissance nucléaire actuelle, soit 63 GW.