Voilà, mes chers collègues, un facteur que nous ne saurions laisser oublier à ceux qui commentent, ailleurs, notre action. La France, monsieur le Premier ministre, a pris ses responsabilités. J’en appelle – mon groupe en appelle – à l’ensemble des pays de l’Union européenne pour faire de même. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault avait conclu il y a un an son discours à cette tribune sur la question syrienne en disant que « la passivité ne peut jamais être une option ». La main de notre gouvernement, la main du Président de la République, ne tremblent pas quand il faut défendre les intérêts de la liberté. La France n’a jamais failli à sa responsabilité : le groupe socialiste, républicain et citoyen s’en félicite.