Je connais le raisonnement selon lequel l’État islamique et Bachar al Assad seraient des alliés objectifs. Je mesure l’argument, mais je vois aussi l’impasse. Qu’on le veuille ou non, le combat contre l’État islamique ne sera victorieux que s’il est livré sur tous les fronts et sous toutes ses formes.
Dans les airs, nous faisons le travail, mais c’est sur le terrain que la victoire décisive devra être obtenue par les peshmergas Kurdes et l’armée irakienne, et, le moment venu, avec l’appui des tribus sunnites qu’il faudra convaincre.