Il faut inscrire la politique française de l'énergie sinon dans une politique européenne de l'énergie, qui fait actuellement défaut, du moins dans une perspective européenne. En matière d'énergie, l'Europe va au-devant de grandes difficultés, qui pourraient commencer dès cet hiver. Chaque État compte sur les autres, qui ne pourront pas toujours l'approvisionner.
Je préfère le second amendement, dont on pourrait modifier ainsi la rédaction, lors de la réunion qui se tiendra au titre de l'article 88 : « participe à l'élaboration d'une future politique européenne de l'énergie ».