Il reste en effet quelque 2 000 amendements : à raison d'une minute par amendement, cela ferait plus de trente-trois heures de discussion. Il serait inacceptable, et irrespectueux pour le Parlement, de terminer la lecture de ce texte à quelques-uns, dans la nuit de vendredi à samedi ou de samedi à dimanche ; je m'y opposerais en tout cas vigoureusement. Il convient donc, soit d'accélérer le rythme de nos travaux, soit de les décaler dans le temps.