Je veux vous remercier très sincèrement, monsieur le président : malgré la censure du Conseil constitutionnel, malgré nos échanges un peu vifs dans l'hémicycle, c'est à vous que nous devrons d'avoir progressé en conscience, y compris sur le plan législatif. Il nous faut maintenant avancer, car si nous ne proposons pas à nos concitoyens la possibilité de mesurer leur consommation quotidienne individuelle, nous ne serons pas fondés à leur demander les efforts prévus par le texte. Le président Brottes aura été l'un des premiers à défendre cette mesure.