Cet amendement est quelque peu contradictoire avec l'inquiétude exprimée tout à l'heure par M. Saddier, puisqu'il vise les véhicules de la défense nationale, de la police, de la gendarmerie, de la sécurité civile, des ambulances, des véhicules d'intervention et d'exploitation routière. En raison de contraintes techniques, l'acquisition d'au moins 50 % de véhicules propres n'est pas imposée pour les services assurant des missions opérationnelles, mais elle sera vivement recommandée. L'exonération devra bien être justifiée par les obligations de service.