Actuellement, l'assiette de l'indemnité forfaitaire sur les entreprises de réseaux (IFER) et le tarif d'obligation d'achat reposent sur la notion de puissance installée. Or, il arrive qu'une machine fonctionne à un régime différent de celui pour lequel elle a été conçue, pour différentes raisons : bridage, contrainte réglementaire telle que l'augmentation des débits réservés pour l'hydroélectricité, etc. La base de calcul est donc plus théorique que réelle. Au lieu de se référer à la puissance installée, je propose de retenir la notion de puissance active maximale injectée au point de livraison.