Je suis ébloui, je l'avoue, par la virtuosité de certains orateurs. J'ai bien compris que le sujet est vaste, voire infini.
J'ai cependant du mal à percevoir la pertinence de la connexion entre l'outil fiscal et la circulation à vélo. Autant je comprends que les questions des infrastructures, de la cohabitation ou de la non-cohabitation entre usagers de divers modes de transport, de la bonne circulation ou de la sécurité soient essentielles en termes d'équipement, autant j'avoue que la façon que nous avons d'aborder la pratique du vélo par l'exonération fiscale ou le crédit d'impôt me plonge dans un degré d'admiration qui finit par culminer dans un abîme de perplexité. (Sourires.)
Je le répète, j'ai tout de même vraiment du mal à comprendre que l'on puisse traiter un tel sujet en utilisant l'outil fiscal.